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Un troisième revers pour les Faucons

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CRÉDIT : GILLES BOUTIN - ARCHIVES

15 oct. 2018 01:45

Après une semaine sans match, les Faucons du Cégep de Lévis-Lauzon étaient de retour sur le terrain, le 13 octobre. Ils accueillaient alors la meilleure équipe au classement, les Spartiates du Cégep du Vieux Montréal. Les Oiseaux se sont inclinés par la marque de 48-42. À l’opposé des deux dernières défaites, celle-ci laisse entrevoir une lueur d’espoir pour la formation.

En effet, les Faucons ont fait preuve beaucoup de combativité face aux Spartiates, même qu’à la demie, la troupe de Pierre-Alain Bouffard menait 28-27. «Je suis content du résultat du match, on est sortis forts malgré le jeune âge des joueurs de notre équipe. On a donné une bonne opposition à l’équipe numéro un au classement, c’est quelque chose», a lancé fièrement l’entraîneur-chef.

L’équipe du Cégep de Lévis-Lauzon renouait avec son terrain et, selon Bouffard, «ça fait du bien aux joueurs de jouer chez nous». Plus la saison avance, plus on constate que les joueurs s’améliorent et Bouffard l’a remarqué. «Les gars prennent de plus en plus d’expérience. J’ai l’impression qu’ils comprennent mieux le système de jeu et la façon dont je veux qu’ils l’exécutent. On voit une belle progression», a souligné l’entraîneur.

Une semaine de congé difficile

Les Faucons ne pouvaient pas compter sur les services du vétéran Olivier Fortier et de Jérémy Villiard pour l’affrontement face aux Spartiates. Ceux-ci étaient sur la touche en raison de blessures subies à l’entraînement. Antoine Campagna était à son poste, mais lui aussi souffrait d’une blessure qui l’empêchait de performer à son plein potentiel.

Pour leur prochain match, les Faucons visiteront les Phénix du Collège André-Grasset, le 20 octobre, un autre défi que devra surmonter la formation du Cégep de Lévis-Lauzon. «André-Grasset a un des meilleurs joueurs du circuit dans ses rangs, Kevin Mitale, il va falloir jouer quatre quarts au complet, car c’est une équipe très compétitive, mais je crois encore que n’importe quelle équipe du circuit peut gagner, peu importe l’adversaire», a conclu Bouffard.

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