Entouré du président de l’association péquiste de la Chaudière-Appalaches, Yves Garneau, et de Serge Bonin, candidat à l’investiture dans Chutes-de-la-Chaudière, Benoît Béchard a alors rencontré le porte-parole péquiste en matière de transports, Martin Ouellet, et le député de cette formation politique responsable de la Chaudière-Appalaches, Harold LeBel.
Sympathisant du troisième lien interrives, le candidat péquiste dans Bellechasse estime toutefois «qu’il est nécessaire de plancher maintenant sur des solutions à très court terme pour favoriser la fluidité entre la section nord de Bellechasse et le goulot d’étranglement que constituent les ponts de Québec et Pierre-Laporte». Du même souffle, Benoît Béchard s’en est pris à la Coalition avenir Québec (CAQ) qui «signerait un chèque en blanc en promettant le troisième lien sans même en connaître les coûts et la meilleure localisation».
«Je connais l’urgence pour des solutions améliorant la fluidité. C’est un ‘‘sacré’’ beau défi pour un futur député que ce genre de problématique. Bien sûr qu’à long terme le troisième lien, c’est le genre de solution qui nous intéresse grandement, si les études démontrent que c’est la meilleure option en transport pour la région, lorsqu’on considère le type d’infrastructure, l’endroit pour la réaliser et le moindre coût pour les citoyens du grand Québec», a conclu M. Béchard.