À la fin du deuxième volume, Maélie remporte la première place de la téléréalité Danse illimité.
Dans 100% danse, elle doit s’adapter à sa nouvelle réalité. Les gens la reconnaissent dans l’autobus et à l’école. Sans compter que la gagnante a fait découvrir la danse irlandaise à beaucoup de monde.
La fin de l’année scolaire approchant, elle se prépare pour le camp d’été 100% danse où son amie Kim et sa rivale Véronique ont aussi été sélectionnées. Réunies pour une semaine, les trois jeunes filles font face à de mystérieux messages signés d’un grand M.
Un roman d’aventure
Les romans d’aventure, c’est ce qu’aime Carolyn Chouinard. Elle y rassemble sa passion pour l’écriture et la danse celtique qu’elle pratique depuis une dizaine d’année, ainsi que ses filles. Toutes deux participent même à des compétitions. De leur expérience, lui est venue la série Sur le rythme, dont le premier volet plus technique, faisait vivre aux lecteurs un Feis, c’est-à-dire une compétition de danse irlandaise, de l’intérieur.
«Quand on fait de la compétition, on est jugé. Même si on performe au meilleur de notre capacité, c’est le juge qui décide si on gagne ou si on perd. Je voulais montrer que ce n’est pas toujours facile, mais qu’il faut persévérer. C’est beaucoup de pratique, de temps et d’investissement de la part des jeunes. La compétition, c’est traverser des montagnes d’émotions, des fois ça fonctionne et d’autres journées ça fonctionne moins bien. Il faut apprendre à gérer tout ça», illustre-t-elle.
Trouver sa passion
Dans son livre, l’auteure entend montrer aux jeunes l’importance d’avoir une passion. «En trouver une, ça rend la vie plus joyeuse. Quand on trouve quelque chose qui nous intéresse à 100%. C’est un message que j’aimerais laisser à travers l’histoire», raconte-t-elle.
Les fans s’en réjouirront, Carolyn Chouinard est en réflexion pour un quatrième volume. Et elle a déjà sa petite idée de l’endroit où les prochaines aventures de Maélie pourraient se passer. «On serait encore plus avancé dans la compétition, à un niveau plus élevé, ce qui va devenir plus difficile et demander encore plus de discipline pour monter plus haut. Quand on veut participer aux nationaux ou aux mondiaux, ça ne se passe pas à Québec», lance-t-elle. À suivre!