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Une histoire de Mélissa Verreault qui fait peur

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CRÉDIT : COURTOISIE - SOPHIE GAGNON-BERGERON

11 janv. 2019 09:25

L’auteure lévisienne a participé à un recueil de nouvelles d’épouvante et d’horreur écrites au féminin. Si le genre attirent davantage un lectorat masculin, c’est peut-être parce que les femmes s’y reconnaissent peu? La collection La Shop renverse la vapeur avec Montres et fantômes.

Comme 14 autres écrivaines québécoises, Mélissa Verreault a accepté de relever le défi : écrire une nouvelle dans un genre littéraire qu’elle fréquente peu.

Plongeant dans les racines du mal, ces zones d’ombre qui sommeillent, elles ouvrent une fenêtre sur l’angoisse, la violence et la peur latentes en chacun de nous, à travers quinze récits où le danger, jamais très loin, se cache sous le calme apparent de la vie quotidienne. 

Ici, les héroïnes nouvelle tendance ont du talent, du cran et du courage à revendre. Tout comme leurs créatrices, qui n’ont pas froid aux yeux, et qui prouvent par quinze que l’horreur n’a pas de sexe. 

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