«On dissuade toute personne de faire la même chose en raison des risques de blessures et même de mort», alerte Maxime Pelletier, porte-parole du SPVL, qui souligne qu’un tel saut de la passerelle du parc des Chutes-de-la-Chaudière, située à 75 pieds au-dessus de la rivière, est «excessivement dangereux».

 «La profondeur de l’eau est souvent très variable en raison du barrage et de la température», prévient-il. Et d’ajouter que sauter d’un point aussi élevé, «même si l’eau est profonde», comporte quand même de «très grands risques».

Sans compter les différents facteurs «qui font qu’on peut ne pas atteindre l’endroit prévu».

Si la hauteur peut s’avérer fatale, une chute d’un point moins élevé peut aussi avoir de graves conséquences, puisqu’«en sautant seulement d’une roche, on peut se blesser gravement», rappelle Maxime Pelletier.

À noter également que la réglementation municipale interdit de monter et de grimper sur des édifices, des infrastructures ou autres installations de la Ville.

Le casse-cou, qui n’en est pas à son premier essai, il s’était déjà filmé en train d’escalader illégalement le pont de Québec et celui de l’île d’Orléans, partage ses «cascades» sur son compte vidéo en ligne.

Ce n’est que 18 heures après l’avoir diffusée, que le jeune homme a commenté sa vidéo en demandant au public de ne pas la reproduire à cause des «risques de mort».