L'option un, c'est que nous avons un grand parti qui rendu au pouvoir à Ottawa promet de faire équipe avec le gouvernement Legault et de financer le projet à la hauteur de 40 %.
L'option deux, c'est M. Trudeau. En 2015, il nous avait promis de peinturer le pont de Québec dans les six prochains mois. Le temps passe... En 2019, son ministre Champagne nous dit être en mode solution.
Il passe la rondelle à un gentil milliardaire de service pour les libéraux. Ni lui ni son confrère récemment gradué ne font le poids dans les négociations avec le CN.
Dernière nouvelle, si ce n'était des élections, on l'achetait.
Pour revenir au troisième lien, les deux députés libéraux de la haute de ville de Québec nous disent qu'ils n'en n'ont pas besoin. Pour eux, Chaudière-Appalaches est une région éloignée.
L'option trois, c'est le Bloc. Comme il vise d'aller dans les estrades ou dans la loge, l'heure d'arrivée est moins importante ni le retour à la maison. Le match peut se faire sans eux.
L'option quatre, c'est le NPD, qui prône le retour à l'époque des Pierrafeu, à condition qu'on appuie M. Trudeau vers le revenu universel garanti.
Pour moi, le choix est clair. On choisit l'option un.
Gaëtan Therrien
Saint-Sylvestre