«Après seize mois de négociation, huit jours de grève et plusieurs actions de mobilisation et manifestations, où nos membres ont exprimé haut et fort leurs revendications, ce sera maintenant à elles d'évaluer les travaux faits à la table de négociation», a affirmé Julie Bouchard, présidente de la FIQ.
La proposition d'entente sera présentée aux représentantes syndicales de la FIQ lors de son conseil fédéral, qui aura lieu les 19, 20 et 21 mars.
Dans l'éventualité où la proposition est adoptée par les militantes, celle-ci sera alors présentée aux membres et elles pourront se prononcer sur son adoption dans le cadre d'un vote référendaire.
Comme le veut l'usage, la centrale syndicale n'a pas dévoilé le contenu de l'éventuelle entente de principe comme ses membres n'en ont pas encore pris connaissance.
Mardi matin, le gouvernement provincial a fait de même en confirmant l'accord intervenu. Toutefois, Québec a précisé que si l'entente était acceptée, elle serait d'une durée de cinq ans.