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L’amateur de sport au Québec est choyé par les temps qui courent. En plus du bon début de saison du Tricolore, le parcours des Blue Jays de Toronto vers la Série mondiale fait vivre des moments incroyables aux téléspectateurs.

La dernière semaine a pris des airs de temps des Fêtes pour les partisans du Canadien alors que les bonnes nouvelles se sont multipliées. Je ne peux encore une fois qu’applaudir le travail de l’état-major du Tricolore.

Il s’est installé ces dernières années, au palier municipal, une nouvelle forme d’autorité. Elle n’a plus des gros bras ou des tatouages. Elle ne tape plus sur les tables. Elle murmure. Elle se dit bienveillante, inclusive, attentive aux émotions. Elle prononce des mots qui sentent la lavande : climat sain, sécurité psychologique, densification heureuse, inclusion, progressisme. Et c’est là que réside sa force: elle ne s’impose plus physiquement, elle culpabilise émotionnellement.

Je n’ai pu m’y mettre aussi rapidement que je le voulais, mais je profite du début de saison dans la Ligue nationale de hockey pour me prêter au jeu des prédictions. Grâce à ma boule de cristal, découvrez quelles équipes se qualifieront pour les séries au printemps 2026.

Ce mois-ci, intéressons-nous à la seigneurie de Beaurivage, aussi appelée Saint-Gilles, correspondant aux municipalités de Saint-Agapit, Saint-Gilles, Saint-Narcisse-de-Beaurivage, Saint-Patrice-de-Beaurivage et Saint-Sylvestre.

La dernière semaine a permis de constater que la Ligue nationale de hockey (LNH) est entrée dans une nouvelle ère. L’augmentation importante du plafond salarial au cours des prochaines années fait exploser la valeur des nouveaux contrats consentis par les formations du circuit Bettman. Une nouvelle réalité qui me laisse mi-figue mi-raisin.

Au cours des dernières semaines, des circuits de sport au Canada n’ont pas eu peur de changer des règlements pour se distinguer et améliorer leur produit. Si plusieurs puristes ont poussé de hauts cris, je suis de ceux qui sont heureux de voir des ligues sportives, reconnues souvent pour leur conservative, faire preuve d’audace pour se démarquer.

La situation actuelle dans le monde municipal est la suite illogique des choses. Elle reflète une tendance qui ronge notre société: la culture de la cancellation. Longtemps limitée aux réseaux sociaux et à certains groupes militants, elle s’est désormais infiltrée dans plusieurs administrations et conseils municipaux, au point d’être devenue l’anneau unique de la gouvernance, sous le couvert d’une prétendue bienveillance bien sûr.

Je l’ai déjà mentionné à quelques reprises : je crois fermement que Kent Hughes est le meilleur directeur général des Canadiens de Montréal depuis Serge Savard. Son plus récent mouvement permettant de se départir du lourd contrat de Carey Price en est une autre preuve. Mais le grand manitou du CH doit réaliser un dernier tour de magie avant le début de la saison pour donner toutes les chances à sa troupe de poursuivre sur sa lancée de l’an dernier.

Nous voilà de retour après l’été! Heureux de vous retrouver pour cette chronique, je vous propose de poursuivre notre exploration des anciennes seigneuries avec celle de Lotbinière, qui correspond aujourd’hui aux municipalités de Leclercville, Lotbinière, Saint-Édouard-de-Lotbinière, Saint-Janvier-de-Joly et Val-Alain. Le récit qui suit s’inspire d’un texte tiré du site Internet de Patrimoine et histoire des seigneuries de Lotbinière.

Les amateurs de hockey de la région de Québec ont eu droit à un beau cadeau avant Noël jeudi. La Fédération internationale de hockey sur glace (IIHF) a confirmé que Québec allait accueillir le championnat du monde de hockey féminin senior en 2027 et le championnat du monde de hockey masculin des moins de 20 ans lors du temps des Fêtes 2028-2029. Il s’agit de belles occasions pour démontrer que la région est un incontournable sur la scène internationale du hockey.

Après un congé de quelques semaines plus tôt en août pour recharger mes batteries, je vous reviens en pleine forme pour une «nouvelle saison» à chroniquer sur le merveilleux monde de ce sport. Et ce dernier nous a encore donné droit à d’agréables surprises au cours des dernières semaines.

Alors qu’il y a quelques mois, les dirigeants des équipes juniors canadiennes se réjouissaient de la levée des restrictions sur l’admissibilité des joueurs dans la NCAA qui allaient leur amener des talents qui ne pouvaient évoluer dans leur circuit, ces derniers déchantent désormais. Plusieurs joueurs élites des circuits juniors canadiens ont répondu favorablement aux sirènes des programmes américains, malgré qu’ils seraient encore admissibles à jouer d’autres saisons dans la LHJMQ, la OHL ou la WHL.

Je sais que le soccer n’est pas le sport qui attise le plus les passions de la majorité des grands amateurs de sport québécois, mais il faut se parler du CF Montréal. Ce club, toujours connu sous son ancienne identité de l’Impact, a fait vivre de beaux moments aux passionnés du ballon rond de la Belle Province depuis les années 90. Mais cette année, j’ai l’impression d’assister à une tragédie grecque faisant voguer le CF vers les abymes. Je me demande sérieusement si l’aventure du club montréalais, qui prend de plus en plus les allures des dernières années des Expos à Montréal, devrait être stoppée.

On a lu dans les pages des publications de Québecor récemment que nos élus seraient si malmenés qu’ils quitteraient les navires en nombre effarant. Surtout au municipal. Eh bien, je dis : ce n’est pas si simple!

Le Canadien de Montréal est choyé de compter sur Kent Hughes comme directeur général. Contrairement à plusieurs de ses homologues, il a évité les folles dépenses lors de l’ouverture du marché des joueurs autonomes dans la LNH. En suivant son plan de match bien précis, il a poursuivi sur sa belle lancée du repêchage en continuant un magasinage intelligent et en ajoutant des pièces qui permettront à sa troupe de poursuivre sa belle progression.

Comme il l’avait dévoilé dans les derniers mois, Kent Hughes a profité de ses nombreux actifs en sa possession en marge du repêchage 2025 de la LNH pour faire un coup d’éclat. Grâce à un nouveau mouvement de génie, le directeur général des Canadiens de Montréal a pu mettre la main sur Noah Dobson, un défenseur élite dans le circuit Bettman qui n’a que 25 ans, sans toucher le noyau de sa formation. La reconstruction de la Sainte-Flanelle vient de passer à la vitesse supérieure!

Si certains analystes déchirent leur chemise depuis le 24 juin, je trouve logique la décision du comité des sages de ne pas avoir sélectionné Carey Price, l’ancien gardien du CH, pour faire son entrée dans le Temple de la renommée du hockey, à sa première année d’admissibilité.

Pouvant compter sur les deux meilleurs attaquants dans le monde du hockey, les Oilers d’Edmonton ont encore vu les Panthers de la Floride les empêcher de toucher à la coupe Stanley pour une deuxième année consécutive. Sans enlever de mérite aux Panthers qui disposait encore une fois d’une équipe redoutable pilotée de main de maître par Paul Maurice, l’échec des Oilers est la preuve flagrante que l’équilibre salarial est la clé pour construire une équipe championne.

Je suis heureux de vous retrouver pour ma deuxième chronique publiée dans Le Peuple Lotbinière. Au cours des prochains mois, je vous ferai découvrir chacune des anciennes seigneuries qui composaient autrefois le territoire de la MRC de Lotbinière. Ces entités foncières, héritées du régime seigneurial français, ont profondément marqué le développement de notre région, tant sur le plan social qu’économique.