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C’est mercredi que s’amorcera la finale 2025 de la Coupe Stanley opposant les Oilers d’Edmonton aux Panthers de la Floride, pour une reprise de la précédente finale de l’an dernier. Comme mes précédentes prédictions ont prouvé que je n’ai pas peur de me mouiller ou du ridicule diront certains, je vous propose mon analyse des derniers moments de la saison 2024-2025 de la Ligue nationale de hockey.

La nomination de Mathieu Darche comme grand patron hockey des Islanders de New York, la semaine dernière, est rafraîchissante. Pour une fois, une organisation de la Ligue nationale de hockey (LNH) donne une première chance à un gestionnaire qui a fait ses preuves comme adjoint à Tampa Bay au cours des dernières années, plutôt que de recycler un directeur général largué par une autre franchise.

J’aimerais commencer cette chronique en me présentant. Je m’appelle Anthony Pham, je réside à Saint-Antoine-de-Tilly et je fais partie du conseil d’administration de Patrimoine et histoire des seigneuries de Lotbinière (PHSL).

Ma boule de cristal a été plus efficace à l’aube de la deuxième ronde des séries éliminatoires de la LNH. Votre Nostradamus du sport a pu déterminer avec précision les quatre équipes qui font partie du carré d’as (soyez indulgents avec le nombre de matchs nécessaires que j’avais prédit pour la fin des séries). On aura donc droit à des finales de conférence opposant les Panthers de la Floride aux Hurricanes de la Caroline (Est) et les Stars de Dallas aux Oilers d’Edmonton (Ouest). Selon moi, les Stars empêcheront une reprise de la finale de l’an dernier, mais les Panthers auront une chance de conserver la coupe Stanley en Floride.

J’ai fait plutôt patate avec mes prédictions de la première ronde des séries éliminatoires de la LNH, avec une seule précision exacte. J’adore cependant trop ce jeu et je vous propose mes pronostics, en espérant avoir une meilleure moyenne au bâton ce coup-ci.

Ça l’aura pris un match de moins que je le prévoyais aux Capitals, mais la troupe de Washington a éliminé, mercredi, les Canadiens de Montréal des séries éliminatoires 2025 de la LNH. Si une élimination en cinq parties peut sembler brutale, le Tricolore n’a pas à rougir de ses performances lors de la première ronde éliminatoire ainsi qu’au fil de la campagne 2024-2025.

Depuis le premier match de la série Canadiens-Capitals, plusieurs analystes et journalistes sportifs montréalais déchirent leur chemise et réclament à grands cris l’insertion dans l’alignement de la Sainte-Flanelle du robuste défenseur Arber Xhekaj. Pour moi, ce ne serait qu’hérésie et Martin St-Louis a eu raison de miser sur le sextuor actuel de défenseurs.

Les séries éliminatoires 2025 de la Ligue nationale de hockey s’amorceront samedi. À la veille du début de la «vraie saison», je me mouille. Voici mes prédictions pour les huit séries de premier tour.

Les Canadiens nous auront fait rêver depuis le temps des Fêtes grâce à leurs performances incroyables. J’ai toutefois la désagréable impression que le rêve est en train de tourner au cauchemar devant nos yeux et que nous revoyons la formation montréalaise qui se trouvait dans les bas-fonds de la LNH en début de saison. Est-ce que ça vaut la peine que ce club qui n’a visiblement plus rien dans le réservoir se qualifie en séries et se fasse démolir par les champions de la conférence Est en première ronde?

Vous vous doutiez bien que je ne pourrais pas m’empêcher de chroniquer sur l’arrivée spectaculaire d’Ivan Demidov avec les Canadiens de Montréal. Je voulais cependant prendre un petit peu de recul avant d’aborder ce sujet qui enflamme les télévisions et radios sportives depuis mardi après-midi.

Que les Canadiens de Montréal sont surprenants cette saison! Après avoir connu un horrible voyage à la fin mars lors duquel ils n’ont obtenu que deux points en quatre matchs, le Tricolore a signé quatre victoires en autant d’occasions au cours des derniers jours. Des chances que cette fois le Bleu blanc rouge n’a pas échappées pour se rapprocher d’une place bien méritée pour les séries éliminatoires.

Même si au moment où j’écris ces lignes (lundi, en début de soirée), les Canadiens de Montréal occupent toujours la dernière place permettant d’accéder aux séries éliminatoires, la dernière semaine désastreuse du Tricolore me rend pessimiste. Je crains que les précieux points perdus dans cette séquence feront la différence au détriment du CH en fin de compte.

La mauvaise blague se poursuit au CF Montréal. Après un début de saison catastrophique de quatre défaites et une nulle, l’entraîneur-chef du club de soccer montréalais, Laurent Courtois, a été mis à la porte ce lundi. Il s’agit du 11e changement d’entraîneur pour l’équipe depuis son arrivée en MLS, il y a 13 ans. Du grand n’importe quoi.

Les directeurs généraux et les bonzes de la Ligue nationale de hockey (LNH) se réunissaient cette semaine en Floride pour leur traditionnelle rencontre annuelle afin de discuter de possibles changements aux normes du circuit Bettman. La réunion n’a pas abordé deux sujets qui ne doivent plus demeurer dans l’angle mort des dirigeants de la LNH : le format des séries et les contournements, valides mais amoraux, des règles du plafond salarial.

Le dernier droit transactionnel dans la Ligue nationale de hockey (LNH) aura réservé plusieurs feux d’artifice aux partisans de hockey. Comme d’habitude, cette période cruciale de la fin de la saison aura fait des gagnants et des perdants. Voici selon moi les formations du circuit Bettman qui se sont démarquées, pour les bonnes ou les mauvaises raisons, vendredi, lors de la date limite des transactions.

Son mandat ne fait que commencer, mais Kent Hughes est en voie de devenir le meilleur directeur général des Canadiens de Montréal depuis Serge Savard. Sa plus récente entente conclue mardi avec le centre Jake Evans pour conserver ses services au cours des quatre prochaines saisons est un nouveau coup de maître.

Il reste une semaine et demie aux dirigeants de la Ligue nationale de hockey (LNH) pour mettre la main sur des joueurs qui feront la différence pour leur formation en séries ou des actifs pour poursuivre leur reconstruction. Se retrouvant encore une fois dans le deuxième camp, les Canadiens de Montréal pourront une nouvelle fois engranger de précieux biens avant la prochaine saison morte dans le circuit Bettman.

Le choc des titans opposant le Canada et les États-Unis en finale de la Confrontation des quatre nations, jeudi soir à Boston, ne pouvait se terminer qu’avec un but dramatique en prolongation. Ce fut une véritable guerre de tranchées où les forces des deux équipes ont brillé lors des quelque 68 minutes de l’affrontement épique. Pour moi, c’est la grande expérience de l’équipe portant fièrement la feuille d’érable qui leur a permis de mettre fin au rêve des aiglons américains lors de ce match ultime.

Si je ne suis pas un apôtre de l’interdiction complète des bagarres au hockey, je n’ai pas été emballé par le début du match au sommet opposant le Canada aux États-Unis lors de la Confrontation des quatre nations, samedi soir. Les frères Tkachuk ont tendu un piège aux Canadiens et ils sont tombés dans le panneau.

Jamais je n’ai aussi été heureux de voir l’une de mes prédictions voler en éclats comme ce fut le cas en raison de la victoire des Eagles de Philadelphie aux dépens des Chiefs de Kansas City, dimanche lors du Super Bowl 59.