D'abord, le chef de ce parti et candidat à la mairie, Elhadji Mamadou Diarra, s'engage à faire construire un centre d'archives «collaboratif» à Lévis. Afin de «protéger, préserver et démocratiser le patrimoine culturel et historique de Lévis», le nouvel édifice abriterait toutes les collections que possèdent toutes les institutions et organismes lévisiens.

Du même souffle, M. Diarra désire améliorer la collaboration entre la Ville de Lévis et les organismes culturels existants, notamment en aménager «prioritairement» des milieux de création artistique et musicale à même les «centres communautaires existants».

«Il s’agit d’optimiser l’occupation et l’animation des infrastructures déjà existantes. L’objectif est d’encourager et de faire rayonner nos artistes locaux tout en favorisant la vie de quartier», a illustré le chef et candidat à la mairie de RL.

Du même souffle, ce dernier veut miser sur l’art urbain pour redynamiser les quartiers lévisiens. Concrètement, il favoriserait la réalisation d'œuvres de ce type d'art sur des murs de bâtiments, d’infrastructures ou de ruelles.

Assurer une «indépendance» aux efforts de revitalisation

Dans un autre ordre d'idées, Elhadji Mamadou Diarra a profité de l'annonce pour aborder la revitalisation des vieux quartiers de Lévis. Il a alors promis de s'assurer «de l'indépendance» de l'organisme Mon quartier de Lévis.

Rappelons que cette nouvelle instance est désormais la responsable de la revitalisation du Vieux-Lévis, du Vieux-Saint-Romuald, du Vieux-Charny et du Village Saint-Nicolas. Le chef de RL souhaite que cet organisme dispose de davantage de pouvoir sur la revitalisation et l'animation des rues des quatre quartiers.