«Visiblement, les participants avaient à cœur les enjeux discutés. Ils ont été très généreux en partageant leur expertise, leurs connaissances et leur temps. Grâce à tous ces gens, les spécificités de la Chaudière-Appalaches pourront être communiquées au gouvernement du Québec en vue de bonifier le Plan Nature 2030», a souligné Josée Breton, directrice générale du CRECA.

Lors de la rencontre, déclin de la biodiversité, initiatives de protection de la biodiversité déjà existantes sur le territoire ainsi que de nouvelles initiatives que les acteurs aimeraient voir se réaliser en Chaudière-Appalaches et des actions qui devraient être mises en place pour qu’elles se concrétisent ont notamment été des sujets abordés.

Rappelons finalement que le ministère de l’Environnement du Québec a confié aux conseils régionaux de l’environnement du Québec le mandat de consulter les acteurs régionaux sur les actions à mettre en œuvre à l’échelle régionale dans le cadre du Plan Nature 2030. Les propositions faites par les régions vont contribuer à identifier les moyens qui permettront d’atteindre les cibles du Cadre mondial de la biodiversité Kunming-Montréal auquel le gouvernement du Québec a adhéré en décembre 2022. Ce cadre a pour objectif de renverser la perte de biodiversité d’ici 2030.