Installé depuis 2022 sur le coin de l’avenue Bégin et de la côte du Passage, l’accueil inconditionnel Le 55 a fait couler beaucoup d’encre, notamment en raison des désagréments provoqués par des personnes itinérantes dans le Vieux-Lévis. À bout de patience, des citoyens et commerçants du secteur ont interpellé le Journal pour partager leur réalité depuis l’arrivée de la ressource à quelques pas de chez eux. Nos dossiers Le 55 : les deux côtés de la médaille Le 55 : les citoyens du Vieux-Lévis à bout de souffle
Bien que la présence du 55 provoque la colère de plusieurs résidents et commerçants du Vieux-Lévis, l’organisme qui en assure le fonctionnement, le Centre aide et prévention jeunesse de Lévis (CAPJ Lévis), souligne qu’il s’efforce à faciliter la cohabitation entre les usagers de la ressource et le voisinage. Cet été, le CAPJ Lévis déploiera notamment un service d’intervenants sur le terrain afin d’offrir de la médiation urbaine chez les commerçants et résidents environnants. Nos dossiers Le 55 : les deux côtés de la médaille Le 55 : l'autre côté de la médaille
Le 4 mai 1975, un groupe de Lévisiens engagés a concrétisé sa volonté de s’exprimer sur un enjeu bien important pour eux : la protection de l’ancienne église anglicane, la Holy Trinity, située au 31, rue Wolfe, et qui abrite désormais L’Anglicane. C’est à ce moment qu’est née la Fête des oiseaux. 50 ans plus tard, le Journal s’est entretenu avec des artisans de cette fête, qui ont tenu des retrouvailles le 4 mai dernier. Nos dossiers Fête des oiseaux Regard sur une importante fête pour le patrimoine, 50 ans plus tard
Afin de souligner les 50 ans de la première édition de la Fête des oiseaux ayant eu lieu le 4 mai 1975, un comité composé de quatre personnes a organisé une soirée de retrouvailles le 4 mai dernier à la Taverne la Barricade, bar situé dans le Vieux-Lévis. Nos dossiers Fête des oiseaux Une soirée de partage et de reconnaissance
À l’occasion du 125e anniversaire du 6e Régiment d’artillerie de campagne (RAC), le Journal s’est entretenu avec Richard Garon, historien du 6e RAC, afin de mettre en lumière l’histoire de la plus vieille sous-unité des Forces armées canadiennes. Ainsi, M. Garon dresse 12 moments historiques où la réserve militaire lévisienne a œuvré. Nos dossiers 125 ans du 6e RAC 125 ans d’histoire en 12 moments historiques
Afin de souligner les 125 ans du 6e Régiment d’artillerie de campagne (6e RAC), le Journal s’est entretenu avec le commandant du régiment lévisien, le lieutenant-colonel Philippe Côté, sur la réalité d’aujourd’hui des citoyens qui s’engagent dans une carrière militaire de réservistes avec l’unité lévisienne. Nos dossiers 125 ans du 6e RAC Former d’«excellents citoyens» par la vie militaire
Alors que Répit Québec a établi un portrait de la situation dans laquelle ses membres, les organismes de répits du Québec, se retrouvent, le Journal s’est penché sur la réalité des organismes de répit lévisien. Nos dossiers Services de répit Des difficultés à offrir du répit
Bien que beaucoup de familles réussissent à trouver du répit, même si la fréquence a diminué avec les années, elles souffrent d’un manque de répits spécialisés à Lévis et en Chaudière-Appalaches. Ce service vient en aide aux personnes avec un handicap qui nécessitent des soins spécifiques ainsi qu’un accompagnement individualisé. Nos dossiers Services de répit Un besoin plus spécialisé
À l’approche des commémorations du 80e anniversaire du débarquement de Normandie, le Journal s’est entretenu avec deux experts de la Seconde Guerre mondiale pour rappeler l’importance de cette opération dans le conflit et le «rôle majeur» qu’y a joué le Régiment de la Chaudière. Nos dossiers Deuxième Guerre mondiale Débarquement de Normandie : «le début de la victoire»
80 ans nous séparent maintenant du 6 juin 1944, date où près de 150 000 soldats alliés, dont près de 900 membres du Régiment de la Chaudière, débarquaient sur les plages de la Normandie afin de libérer l’Europe de l’emprise des Allemands. À l’aube des commémorations du 80e anniversaire, un vétéran du régiment a accepté de partager ce pan de l’histoire avec le Journal afin «d’entretenir le souvenir» de cette opération. Nos dossiers Deuxième Guerre mondiale Le débarquement de Normandie, 80 ans plus tard