«Ce ne serait pas un luxe d’attirer plus de commerces de proximité. L’offre de transport en commun reste minimale. On pourrait réfléchir autrement pour avoir un choix de déplacement efficace. L’école primaire manque de place, il faut faire pression sur le gouvernement. Et puis, un quartier agréable, c’est un quartier où l’on s’y sent en sécurité et où nos enfants peuvent se déplacer sans inquiétude. Il y a bien des coins de rue à améliorer. Je veux être une élue accessible et je suis prête à retrousser mes manches pour améliorer notre quotidien», a expliqué Dina Daher.
Soulignons que cette dernière était enseignante au primaire avant de joindre la fonction publique où elle cumule plus de 15 ans d’expérience et œuvre à titre de conseillère stratégique en affaires autochtones au sein du ministère du Conseil exécutif du Québec. C’est cette expérience qui la distingue du lot, considère-t-elle.
«Afin de tirer notre épingle du jeu, c’est le devoir de la Ville d’arriver avec des dossiers bien ficelés et bien préparés auprès du gouvernement. Je comprends les rouages administratifs, les processus décisionnels et les politiques publiques, je suis habituée à naviguer efficacement dans les structures gouvernementales», a précisé la candidate de RL.
La candidate au titre de conseillère municipale du district Breakeyville est notamment impliquée au sein du conseil d’établissement de l’école secondaire d’un de ses trois enfants ainsi que du comité de parents du Centre de services scolaire des Navigateurs.
«L’écoute des besoins de chaque communauté trouve chez elle une qualité exceptionnelle. Je n’ai pas absolument aucun doute que cette ouverture et cette sensibilité sauront lui permettre de bien saisir les défis et explorer les solutions des citoyennes et citoyens de Breakeyville», a assuré le chef de RL et candidat à la mairie de Lévis, Serge Bonin.