La CCIGL et la FCCQ rappellent que 64 % des entreprises devraient refuser des contrats, réduire leur production ou fermer un quart de travail si leurs travailleurs étrangers temporaires (TET) actuellement au travail devaient quitter.
«Nous réitérons l’urgence d’agir maintenant pour protéger nos entreprises. En Chaudière-Appalaches, la réalité est bien différente qu’à Montréal, avec le taux de chômage le plus bas au Canada. Les restrictions actuelles frappent de plein fouet des secteurs clés comme le manufacturier, l’industrie touristique, les services de proximité et même nos institutions d’enseignement. Ce sont des piliers de notre économie régionale. Si rien n’est fait, c’est l’ensemble de notre vitalité économique et sociale qui est en péril», a indiqué Marie-Josée Morency, présidente-directrice générale de la CCIGL.