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Une saison créative à L’Anglicane

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The Lost Fingers (première photo) et Jesse Mac Cormack (deuxième photo) sont à l’affiche cette saison. CRÉDIT : COURTOISIE ET FRÉDÉRIQUE BÉRUBÉ

17 déc. 2019 08:44

Cet hiver et au printemps, la programmation de L’Anglicane s’annonce tout en contrastes et illustre bien l’éclectisme créatifs des artistes québécois.

Dans la série Chanson, se succéderont la folk-pop de la jeune violoniste Gabriella (7 mars), les jeux de mots métaphoriques de David Marin (21 mars), la maîtrise musicale reconnue de Fred Fortin (17 avril), le tour de l’œuvre de Félix porté par le comédien-chanteur Stéphan Côté (8 mai) et l’art du portrait de Lynda Lemay (20 et 21 mai).

L’Anglicane présente ses coups de cœur pour la singulière Mélissa Laveaux (18 avril) qui partage les chansons du folklore de son Haïti natal, pour la Correspondance de la mythique peintre Frida Kahlo incarnée par Sophie Faucher accompagnée de colorés mariachis (2 mai), et pour la forte interprète qu’est Geneviève Leclerc (16 mai).

Le Sommet Blues Acoustique du Guy Bélanger Trio (2 avril) avec ses invités guitaristes-chanteurs Cécile Doo-Kingué et Mathis Haug, les classiques de Brel et Brassens versions jazz du Trio Guillaume Martineau (4 avril), les arrangements de musiques d’Europe de l’Est à la manière de l’octuor instrumental Oktopus (1er mai) ainsi que la présence énergique de la chanteuse Angel Forrest (5 juin) composent la série Jazz, Monde et Blues.

Trois créations théâtrales

En Théâtre, trois créations interrogent le sens de la vie en commençant par celle de l’écrivaine Gabrielle Roy interprétée par Marie-Thérèse Fortin dans La détresse et l’enchantement (complet - 30 janvier), celle d’une personne en soins palliatifs dans la création de Denis Bouchard, Le dernier sacrement (18 et 19 mars), et celle d’un homme en quête de l’origine de la violence dans sa famille, Omi Mouna (16 avril).

Les Maîtres de musique 2020 sont la renommée marimbiste Anne-Julie Caron (29 février), le chef montant Nicolas Ellis qui dirigera son Orchestre de l’Agora (27 mars), le ténor Steeve Michaud (25 avril) qui chante le répertoire de la Belle Époque et le brillant violoncelliste Stéphane Tétreault (23 mai).

Les plus jeunes ou les Oreilles dégourdies sont invités cette saison à venir entendre les cris du cœur de Bernard Adamus (12 mars) et le Now doucement rock de Jesse Mac Cormack (22 mai), sacré album anglophone 2019 à l’ADISQ. 

De l’humour à son meilleur

Dans la série Rire collectif, Dominic Paquet (22 - complet et 23 février) donne vie à son imaginaire débridé dans son nouveau et très attendu spectacle (en rodage), le style stand-up d’Alexandre Barrette (29 mai) retrouve une salle intimiste, tandis que l’humour existentiel d’André Sauvé (13 mars) et la candeur mordante de l’attachante Katherine Levac (30 mai) occuperont les planches au Cégep de Lévis-Lauzon.

Des Apéros éclatés à prix mini, maïs soufflé inclu, feront découvrir un conte western échevelé à deux voix (5 mars), la dynamique et sympathique chanteuse country Sara Dufour (26 mars) ainsi que l’afro-funk entraînante des dix musiciens de Papagroove (7 mai).

L’hommage à Simon & Garfunkel et Cat Stevens de l’ensemble Time It Was en sera à ses 35e et 36e représentations (25 janvier et 9 mai), dans la série Lévis en scène, qui accueille également l’artiste circassienne Caroline Rochefort (15 mai) et le populaire quartet de style manouche The Lost Fingers (12 juin).

Enfin, pour un P’tit dimanche en famille, Au bout du conte (8 mars-pour les 4 à 10 ans) met en scène les classiques du genre et Ariane DesLions (24 mai- pour les 3 à 8 ans) invite les enfants à découvrir sa panoplie d’instruments conçus à partir de matériaux recyclés.

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