C’est au petit matin que les policiers lévisiens ont été alarmés et qu’ils se sont rendus sur les lieux où ils ont intercepté les quatre mineurs en «flagrant délit».

Les quatre individus se seraient introduits dans le fort Numéro-Un et des objets historiques, des fenêtres ainsi que des portes auraient été brisés, a rapporté Véronique Blouin, porte-parole du SPVL.

Pour le moment, les quatre personnes d’âge mineur ont été libérées par sommation et sans condition. Cependant, une enquête est toujours en cours puisque d’autres événements qui se sont déroulés dans les jours qui ont précédé les méfaits au fort Numéro-Un pourraient être reliés à ces individus.