Note de la rédaction : Le Journal de Lévis n'endosse aucune opinion qui est partagée dans les lettres d'opinion ou ouvertes publiées dans notre section Opinions. Les opinions qui sont exprimées dans ce texte sont celles de l'auteur signataire.
Pendant ce temps, dans l’opinion publique, les observateurs pointent grandement vers les administrateurs de la STLévis comme négligents et inhabiles à négocier. Voilà un jugement social difficile à digérer ainsi qu’à porter.
Imaginez, la direction de la STLévis, un peu caustique, avec sa complice la Ville de Lévis, a moult fois tenté de faire modifier la loi sur le «service essentiel» au Tribunal administratif du travail (TAT), mais ce fut en vain. Lévis n’a pas une population de 350 000 personnes comme condition minimale exigée!
Comment la STLévis peut-elle se targuer de voir ses chauffeurs sans contrat de travail depuis décembre 2021? Nous constatons clairement où sont leurs priorités! Pendant ce temps, le maire de Lévis, M. Lehouillier, tient bien son rôle de Ponce Pilate qui s’en lave les mains plutôt que de peser sur l’accélérateur. Voilà un bel exemple de stagnation administrative.
Pour mieux placer la cerise sur le gâteau, l’organisme Accès transports viables impute le tort à l’administration Lehouillier. Notons qu’il y a plus qu’un sous-financement à la STLévis, car le problème est plus profond! Il y a peut-être plusieurs pièces à remplacer dans les bureaux! Voilà de la nourriture pour les pensées!
Michel Beaumont
Québec