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Le Marché gourmand de Noël de retour

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Photo : Catherine D'Amours

12 déc. 2025 12:30

Les Galeries Chagnon sont l’hôte pour une deuxième édition du Marché Gourmand de Noël de la Table agroalimentaire de la Chaudière-Appalaches (TACA). Ce dernier se tiendra du 12 au 14 et du 19 au 24 décembre dans le mail au deuxième étage du centre commercial lévisien.

Le marché vise à faire connaître des producteurs de la région qui présenteront une variété de produits comme vin, confiture, vinaigrette, miel, produits d’érables et plusieurs autres. Parmi les entreprises participantes, on compte Douceurs des Appalaches, le Pré Rieur, l’Érablière JaD’or, la Ferme des Cent acres, Or et délices et le Domaine Small. 

«L’an dernier, on avait trois entreprises seulement sur place. On a fait un sondage auprès d’elles et elles étaient enchantées, elles disaient qu’elles avaient eu de bonnes ventes. On a essayé d’ouvrir à plus d’entreprises de la Chaudière-Appalaches et on a réussi à avoir six entreprises cette année», souligne Bruno Couture, directeur général de la TACA.

L’idée du marché gourmand est venue directement de Westcliff, propriétaire des Galeries Chagnon, alors qu’ils organisent chaque année un marché de Noël d’envergure dans leur autre centre commercial situé en Outaouais. 

Andréa Pelletier, directrice des communications pour la table, ajoute que «l’idée est de continuer de faire grandir le marché d’année en année. On veut que ça devienne quelque chose de pérenne avec de plus en plus de producteurs. En Outaouais, c’est vraiment un marché avec des décorations, un peu dans le style du Marché allemand de Québec donc on travaille en ce sens là aussi».  

Pour les producteurs, le marché est une opportunité de se faire connaître, surtout à une période où les passants sont à la recherche de cadeaux locaux. 

«Les gens qui vont au centre commercial sont déjà dans un esprit d’achat et de découverte et il y en a plusieurs qui ne savent pas trop quoi acheter donc ça permet aux producteurs de présenter leurs produits devant une nouvelle clientèle», conclut Andréa Pelletier. 

 

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