Jean Chrétien et Glenn O’Farrell se connaissaient tous deux avant que le candidat décide de se présenter. L’équipe du candidat souligne que M. Chrétien souhaitait venir spécialement pour M. O’Farrell.

Sur place, l’ex-premier ministre a répondu à plusieurs questions des journalistes, notamment sur les enjeux entre le Canada et les États-Unis. 

«Il (NDLR : le président américain, Donald Trump) a uni le Canada comme jamais. On a un bon premier ministre (NDLR : Mark Carney) qui est une très bonne illustration de ce qu’est le Canada», indique-t-il. 

Jean Chrétien est présentement en tournée à travers le Canada afin de partager la fierté libérale. Avant son arrêt à Lévis, il est allé en Nouvelle-Écosse et à Terre-Neuve. Il s’arrêtait ensuite à Québec, en compagnie des candidats libéraux de plusieurs circonscriptions de la ville de Québec.

«Ce n’est pas la tradition qu’un premier ministre fasse beaucoup de campagnes électorales. Mais moi je fais [de la politique] depuis 1956 et c’est difficile de sortir de l’habitude et j’aime ça rencontrer le monde», explique-t-il, ajoutant que c’est également à la demande du PLC qu’il continue de participer. Il a conclu son intervention en signalant qu’il est «toujours rouge».