Rappelons que le sort du bâtiment a semé l’émoi chez de nombreux citoyens et même au niveau du conseil municipal de la Ville de Lévis. Lors du rendu de décision du 19 juin dernier, un regroupement citoyen avait notamment demandé un moratoire d’un an au conseil pour compléter l’élaboration d’un plan d’affaires en vue d’acquérir l’immeuble et d’en faire la restauration.
L’initiative citoyenne n’avait toutefois pas pu être approuvée, alors qu’il était «impossible» de repousser le rendu de la décision de démolition, selon le maire de Lévis, Gilles Lehouillier.
Notons que, selon ce qui a été partagé par les représentants de Chocolats Favoris au cours de la saga sur sa demande de démolition à la Ville de Lévis, l’entreprise visait à revenir s’installer dans le nouveau bâtiment qui sera construit au coin de l’avenue Bégin et de la rue Saint-Thomas.