Concrètement, ce regroupement vise à «inscrire l'enjeu du déficit d’investissement dans les infrastructures en eau comme une priorité à l’ordre du jour public et gouvernemental».
Afin de proposer des solutions pour cet enjeu, le groupe réalisera quatre actions, soit cartographier les besoins sur le territoire du Québec afin d’obtenir un portrait de la situation, recenser les technologies disponibles pour rendre les infrastructures actuelles plus résilientes et plus performantes, identifier des solutions novatrices en matière de financement afin de résorber le déficit et déterminer les obstacles administratifs qui minent la capacité à agir afin de les surmonter.
Selon le Centre d'expertise et de recherche en infrastructures urbaines (CERIU), des investissements de 49 G$ seraient nécessaires actuellement afin de remplacer toutes les infrastructures en eau et de voirie (au-dessus des réseaux) à risque critique de défaillance au Québec.