L’exposition Traces d’un jardin disparu réunit une suite d’œuvres picturales sur papier issues des techniques de l’estampe, telles la pointe sèche et le monotype s’intégrant au collage et au lavis. Le parcours est complété par quelques livres d’artiste.

Longtemps inspirée par le travail de la ligne et de ses références au paysage, Denise Blackburn transpose cet intérêt en abordant le monde végétal. Elle transmet le message d’un univers menacé en inévitable transformation qui nous renvoie à notre propre existence et à sa fragilité.

Denise Blackburn vit et travaille en atelier à Québec. Elle possède un baccalauréat en arts visuels de l’Université Laval et un certificat de l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs de Paris. L’artiste compte à son actif de nombreuses expositions individuelles et collectives au Québec et à l’étranger, notamment en France, en Écosse et en Bulgarie.

Plusieurs de ses œuvres font partie de collections, telles la Collection Loto-Québec, la Bibliothèque et Archives nationales du Québec, la Collection Desjardins d’œuvres d’art, la Collection du Musée national des beaux-arts du Québec et la Banque d’art du Conseil des arts du Canada. Au cours de sa carrière, elle a reçu plusieurs bourses et prix dont le Prix reconnaissance Videre, en art actuel.

Le Centre d’exposition Louise-Carrier est situé au 33, rue Wolfe, à Lévis. Le vernissage aura lieu le dimanche 2 avril, à 13h30, en présence de l’artiste. Elle accueillera également le public les dimanches 9 et 30 avril, entre 14h et 16h.

Par Aude Malaret